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la connaissance sociale:Quelles sont les dimensions sociale du psychisme?
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la connaissance sociale:Quelles sont les dimensions sociale du psychisme?
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سوسيو- سوسيولوجي جديد
- عدد المساهمات : 16
تاريخ الميلاد : 24/11/1977
تاريخ التسجيل : 12/03/2011
العمر : 47
Quelles sont les dimensions sociale du psychisme
1- Les conceptions idéalistes du psychisme se portent toujours bien aujourd’hui. Elles sous-entendent une énergie propre du psychisme. Celui-ci est sensé pouvoir fonctionner de manière autonome. La preuve, qui est plutôt une foi à acquérir qu’une preuve, en est souvent recherchée en parapsychologie ou dans le spiritisme. On y met en valeur les sorties hors du corps des NDE, les apparitions de fantômes et d’ectoplasmes, les contacts avec l’au-delà, les réincarnations de type hindouiste... Le psychisme se présente, alors, comme une âme capable, au moins pendant un moment, d’être désincarnée sans perdre ses caractères propres.
Ces âmes peuvent être bonnes et bienveillantes ou devenir malades, par tentations malsaines. Pour leur faire perdre leurs mauvais penchants, il faut arriver à les “convertir” à différents modèles idéaux de fonctionnement. Le divin est considéré comme le modèle le plus idéal en quelque sorte. Pour s’en inspirer, il faut expulser les mauvais esprits qui occupent indûment le corps d’une personne. Cela peut se réaliser par le recours à la prière, si elle est conçue comme une mise en action surnaturelle, ou par le recours aux exorcismes, aux guérisseurs, aux magnétiseurs, à l’imposition des mains, aux voyantes, aux médecines ésotériques, à la parole conçue comme une magie opératrice ("parlez et vous irez mieux !"), à la confession. Ce sont des manières d’agir cohérentes avec ces conceptions. Celles-ci trouvent leurs origines dans le schamanisme depuis l’antiquité, notamment par le platonisme et le néoplatonisme et son influence au cours des siècles, en passant par des philosophes comme Leibniz et, plus récemment, David Bohm.
2-Les conceptions matérialistes d’un psychisme réduisent celui-ci aux fonctions supérieures du corps individuel. Elles sont de filiation plutôt aristotélicienne. Elles se portent bien aussi aujourd’hui. Le neurologique cérébral propose une série de modules imbriqués. Ils réagissent à l’environnement et, notamment, à l’environnement social, pour permettre à l’individu d’acquérir des apprentissages efficaces. A cet environnement et, déjà, au familial, de proposer des conditions auxquelles le neurologique peut correspondre et s’adapter. Des phénomènes d’émergence permettent aux fonctions psychiques de surgir. Ces fonctions "supérieures" restent dépendantes des bonnes fonctions sous-jacentes bien paramétrées. C’est un fonctionnement par "niveaux", selon une interprétation très particulière du fonctionnement neuronal. C’est un paradigme élitiste, où les niveaux "supérieurs" peuvent contrôler les niveaux "inférieurs".
La maladie, dans ce paradigme, résulte de conditionnements erronés, de mauvaises adaptations qui font souffrir, au lieu d’apporter de la satisfaction. Cela peut venir de ce que l’individu se trompe dans son développement. Cela peut résulter aussi de ce que l’environnement pervertit les capacités de conditionnement de l’individu, en ne tenant pas compte des capacités et des limites de celles-ci. Les paramétrages des fonctions de base est déficient et, sur ces déficiences, ne peuvent émerger que des capacités psychiques insuffisantes qui aboutissent à des désavantages sociaux. On peut agir sur les deux niveaux en cas de maladie psychique. C’est même important de le faire : agir au niveau de l’individu pour le reconditionner et agir au niveau de son environnement, pour faciliter les reconditionnements. Le traitement est donc de type éducatif. Il s’agit de reprendre l’éducation, là où elle a faillit et de trouver une éducation spécialisée aux problèmes présentés par la personne.
Il peut arriver que le social ne puisse récupérer la situation et s’adapter à l’individu et ses contraintes. Il peut arriver, aussi, que l’individu ne possède pas les capacités neurologiques nécessaires à de bons apprentissages minimaux pour avoir des capacités psychiques suffisantes et donc une bonne intégration sociale. On considère alors son niveau social de "handicap", c’est à dire de désavantage social et on l’indemnise en conséquence par des aides matérielles et financières. La notion de handicap est ainsi devenue de plus en plus une notion sociale, par l’influence de cette idéologie neuropsychologique. Pavlov, Skinner, Piaget sont des auteurs importants dans ces conceptions qu’est venue parachever la classification internationale du fonctionnement, du handicap et de la santé y compris la santé mentale. Votée à l’ONU, cette classification a marqué le succès planétaire de ce paradigme neuro-psychologique. Même aménagé par la suite, le principe de fonctionnement par niveaux reste dans les classifications qui s’en inspirent toujours.
Tout cela repose sur une analogie de phénomènes physiques compris comme des manifestations du concept d’émergence. Cette conception est appliquée, par extension, au biologique et au psychique. Notons qu’il n’y a aucune preuve scientifique que cette extension soit valable. Il est, de plus, assez aisé de démonter la philosophie de l’émergence appliquée à la physique. Elle est toujours le contraire de la notion de réduction : on chauffe de la silice et un liant et on obtient merveilleusement l’émergence de la propriété de transparence, par la formation de verre. Ce n’est jamais envisagé comme une perte d’opacité.
Ces âmes peuvent être bonnes et bienveillantes ou devenir malades, par tentations malsaines. Pour leur faire perdre leurs mauvais penchants, il faut arriver à les “convertir” à différents modèles idéaux de fonctionnement. Le divin est considéré comme le modèle le plus idéal en quelque sorte. Pour s’en inspirer, il faut expulser les mauvais esprits qui occupent indûment le corps d’une personne. Cela peut se réaliser par le recours à la prière, si elle est conçue comme une mise en action surnaturelle, ou par le recours aux exorcismes, aux guérisseurs, aux magnétiseurs, à l’imposition des mains, aux voyantes, aux médecines ésotériques, à la parole conçue comme une magie opératrice ("parlez et vous irez mieux !"), à la confession. Ce sont des manières d’agir cohérentes avec ces conceptions. Celles-ci trouvent leurs origines dans le schamanisme depuis l’antiquité, notamment par le platonisme et le néoplatonisme et son influence au cours des siècles, en passant par des philosophes comme Leibniz et, plus récemment, David Bohm.
2-Les conceptions matérialistes d’un psychisme réduisent celui-ci aux fonctions supérieures du corps individuel. Elles sont de filiation plutôt aristotélicienne. Elles se portent bien aussi aujourd’hui. Le neurologique cérébral propose une série de modules imbriqués. Ils réagissent à l’environnement et, notamment, à l’environnement social, pour permettre à l’individu d’acquérir des apprentissages efficaces. A cet environnement et, déjà, au familial, de proposer des conditions auxquelles le neurologique peut correspondre et s’adapter. Des phénomènes d’émergence permettent aux fonctions psychiques de surgir. Ces fonctions "supérieures" restent dépendantes des bonnes fonctions sous-jacentes bien paramétrées. C’est un fonctionnement par "niveaux", selon une interprétation très particulière du fonctionnement neuronal. C’est un paradigme élitiste, où les niveaux "supérieurs" peuvent contrôler les niveaux "inférieurs".
La maladie, dans ce paradigme, résulte de conditionnements erronés, de mauvaises adaptations qui font souffrir, au lieu d’apporter de la satisfaction. Cela peut venir de ce que l’individu se trompe dans son développement. Cela peut résulter aussi de ce que l’environnement pervertit les capacités de conditionnement de l’individu, en ne tenant pas compte des capacités et des limites de celles-ci. Les paramétrages des fonctions de base est déficient et, sur ces déficiences, ne peuvent émerger que des capacités psychiques insuffisantes qui aboutissent à des désavantages sociaux. On peut agir sur les deux niveaux en cas de maladie psychique. C’est même important de le faire : agir au niveau de l’individu pour le reconditionner et agir au niveau de son environnement, pour faciliter les reconditionnements. Le traitement est donc de type éducatif. Il s’agit de reprendre l’éducation, là où elle a faillit et de trouver une éducation spécialisée aux problèmes présentés par la personne.
Il peut arriver que le social ne puisse récupérer la situation et s’adapter à l’individu et ses contraintes. Il peut arriver, aussi, que l’individu ne possède pas les capacités neurologiques nécessaires à de bons apprentissages minimaux pour avoir des capacités psychiques suffisantes et donc une bonne intégration sociale. On considère alors son niveau social de "handicap", c’est à dire de désavantage social et on l’indemnise en conséquence par des aides matérielles et financières. La notion de handicap est ainsi devenue de plus en plus une notion sociale, par l’influence de cette idéologie neuropsychologique. Pavlov, Skinner, Piaget sont des auteurs importants dans ces conceptions qu’est venue parachever la classification internationale du fonctionnement, du handicap et de la santé y compris la santé mentale. Votée à l’ONU, cette classification a marqué le succès planétaire de ce paradigme neuro-psychologique. Même aménagé par la suite, le principe de fonctionnement par niveaux reste dans les classifications qui s’en inspirent toujours.
Tout cela repose sur une analogie de phénomènes physiques compris comme des manifestations du concept d’émergence. Cette conception est appliquée, par extension, au biologique et au psychique. Notons qu’il n’y a aucune preuve scientifique que cette extension soit valable. Il est, de plus, assez aisé de démonter la philosophie de l’émergence appliquée à la physique. Elle est toujours le contraire de la notion de réduction : on chauffe de la silice et un liant et on obtient merveilleusement l’émergence de la propriété de transparence, par la formation de verre. Ce n’est jamais envisagé comme une perte d’opacité.
الحسن سلمي- سوسيولوجي نشيط
- عدد المساهمات : 170
تاريخ الميلاد : 19/04/1978
تاريخ التسجيل : 06/11/2010
العمر : 46
رد: la connaissance sociale:Quelles sont les dimensions sociale du psychisme?
merci bien ,est ce que c le cours du prof,merci????
oumalaeddine- سوسيولوجي نشيط
- عدد المساهمات : 118
تاريخ الميلاد : 28/09/1982
تاريخ التسجيل : 04/01/2011
العمر : 42
الحسن سلمي- سوسيولوجي نشيط
- عدد المساهمات : 170
تاريخ الميلاد : 19/04/1978
تاريخ التسجيل : 06/11/2010
العمر : 46
oumalaeddine- سوسيولوجي نشيط
- عدد المساهمات : 118
تاريخ الميلاد : 28/09/1982
تاريخ التسجيل : 04/01/2011
العمر : 42
رد: la connaissance sociale:Quelles sont les dimensions sociale du psychisme?
stp aidez nous à connaitre la théorie de moscovici????maerci
oumalaeddine- سوسيولوجي نشيط
- عدد المساهمات : 118
تاريخ الميلاد : 28/09/1982
تاريخ التسجيل : 04/01/2011
العمر : 42
رد: la connaissance sociale:Quelles sont les dimensions sociale du psychisme?
*De l’individu au groupe d’individus :
-Les éléments du caractère social de la pensée :
-Le domaine de cognition sociale est constituée des mécanismes qui permette au sujet de construire une connaissance personnel du monde social, des personnes, des groupe. Mais également de lui-même. Ainsi le sujet se trouve amener à procéder à une sorte de traitement de l’information, ce traitement s’opère aussi a travers des mécanismes d’intégration des connaissances nouvelles dans des structures cognitives antérieure de mémorisation de rappel et des processus de décisions. L’idée essentielle est de que la cognition social doit être analysé comme un processus qui vise à mieux comprendre les logiques du fonctionnement de l’activité mentale. Ces logiques peuvent être étudiées au niveau individuel d’une part et en rapport avec autrui d’autre part.
-A travers la théorie de représentations sociales S.MOSCOVICI se propose de montre que le pensée du sujet (individuel) n’est pas seulement une accumulation de raisonnements et de croyances individuel. Le sujet pense a travers des significations sociales, c'est-à-dire des significations élaborées sont construite a travers les échanges quotidiens. La principale fonction des représentations sociales est de donner un sens au monde et de permettre aux sujets de l’interprété. Cependant il ne faut pas oublier que les représentations sociales ont une dimension psychologiques c'est-à-dire quelles sont déterminés par les processus cognitives
Examinant à présent les critères de sociabilité de cognition.
-Les éléments du caractère social de la pensée :
-Le domaine de cognition sociale est constituée des mécanismes qui permette au sujet de construire une connaissance personnel du monde social, des personnes, des groupe. Mais également de lui-même. Ainsi le sujet se trouve amener à procéder à une sorte de traitement de l’information, ce traitement s’opère aussi a travers des mécanismes d’intégration des connaissances nouvelles dans des structures cognitives antérieure de mémorisation de rappel et des processus de décisions. L’idée essentielle est de que la cognition social doit être analysé comme un processus qui vise à mieux comprendre les logiques du fonctionnement de l’activité mentale. Ces logiques peuvent être étudiées au niveau individuel d’une part et en rapport avec autrui d’autre part.
-A travers la théorie de représentations sociales S.MOSCOVICI se propose de montre que le pensée du sujet (individuel) n’est pas seulement une accumulation de raisonnements et de croyances individuel. Le sujet pense a travers des significations sociales, c'est-à-dire des significations élaborées sont construite a travers les échanges quotidiens. La principale fonction des représentations sociales est de donner un sens au monde et de permettre aux sujets de l’interprété. Cependant il ne faut pas oublier que les représentations sociales ont une dimension psychologiques c'est-à-dire quelles sont déterminés par les processus cognitives
Examinant à présent les critères de sociabilité de cognition.
alae berrada- سوسيولوجي مشارك
- عدد المساهمات : 62
تاريخ الميلاد : 16/03/1991
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