علم الاجتماع والأنثربولوجيا


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مُساهمة من طرف sociologue الخميس ديسمبر 06, 2012 3:46 pm

INTERACTIONS SOCIALES


INTRODUCTIONS :
L’introduction sociale caractérise un échange entre deux ou plus de deux individus. Elle ne
nécessite pas obligatoirement une
présence physique des individus mais uniquement un échange d’une information
verbale ou non verbale entre eux. Ainsi, il peut y avoir interaction sociale à
l’occasion d’une communication par courrier électronique ou par téléphone.
Quand il y a échange, il y a nécessairement des influences réciproques sur les
individus qui participent à cet échange.
Plus généralement, entre les individus composant une société, s’établit une
communication continue, résidant en un échange de messages et une interaction
bilatérale et multilatérale.
L’interaction entre les individus implique l’utilisation du langage, son adaptation pour qu’il soit
intelligible pour les parties entraînant ainsi la confrontation de leur
égocentrisme et par conséquent leurs mise en question et l’intériorisation de
nouvelles conceptions.
Entre l’individu et les influences extérieures, et en particulier les messages
objets, s »établit un mécanisme d’interaction par lequel s’opère un
décodage, une analyse de contenu. Cela donne lieu à des comparaisons, des
synthèses qui sont largement conditionnées par les pensées existantes et leurs
structures.
DU GROUPE AUX MASSES :
On entend par groupe : un ensemble de plusieurs personnes qui se
réunissent dans un lieu déterminé, qui communique entre eux de façon
superficielle ou de façon approfondie, qui s’entendent plus ou moins bien et
qui finissent par se séparer. Il s’agit là d’une définition qui n’est pas très
claire car elle est trop générale et sert à désigner des r&alités très
différentes les unes des autres.
I. CLASSIFICATION DES GROUPES :
Il y a différentes classifications et chacune d’entre elles est basée
sur des critères propres . Nous allons en citer quelques unes/
1- Classification de GURVITCH :
Elle se base sur :
a Le contenu du groupe : C’est-à-dire est ce qu’il s’intéresse à une seule
fonction (sport – orchestre) ou à plusieurs fonctions ( parti politique)ou à
une totalité de fonctions(une classe sociale, minorité religieuse ou ethnique).
b La taille du groupe : Ainsi on distingue les groupes réduits ( famille, groupe d’amis …), les groupes moyens ( le corps professionnel : avocats, médecin …) et les groupes étendus (larges) comme (classe sociale).
c Le fondement de formation : Il s’agit du type de participation au groupe. La participation peut être
involontaire (groupe d’âge, groupe de consommateurs), elle peut être volontaire (comme associations, syndicat, parti politique), elle peut même être obligatoire ( comme l’état الدولة ).
d La dispersion : Pour exister un groupe n’a pas besoin de se rassembler de façon fréquente. Un groupe existe
même si ses membres n’ont que rarement l’occasion de se rencontrer. On parle alors de groupes à distance
(exemple : chômeurs, classe sociale).
La fonction : On peut distinguer les groupes à fonction ou activité non lucrative (exemple association de bien
faisances, parti politique), et les groupes qui exercent une activité économique comme les entreprises, les coopératives qui ont pour objectif de réaliser un bénéfice.
2. :Pour ces autres, il existe cinq sortes de groupes :
a) La foule : C’est un groupe
constitué d’un groupe nombre de personnes rassemblées dans un même endroit : stade de sport – plage – salle de cinéma – place publique .En principe il n’y a pas d’échange entre eux ou bien il y a très peu d’échange
mais ils sont tous rassemblés à un moment déterminé dans un endroit donné, car
ils ont le même but.
b) La bande : Elle est constituée d’un nombre limité d’individus qui se rassemblent. Les membres d’une bande la considèrent comme une sorte de famille mais une famille dont la durée de vie est généralement assez courte ( quelques mois). La bande n’est pas organisée et le rôle de chacun de ses membres n’est pas clairement défini.
c) A l’inverse de l’association dont les membres jouent chacun un rôle précis en vue d’atteindre un objectif commun avec une organisation formalisée ( il ya un statut, des règles, un règlement interne …).
d) Le groupe restreint : Le nombre de ses membres ne dépasse pas 10 personnes. De ce fait, les relations entre eux sont très étroites. Ces relations peuvent être soit amicales ,soit conflictuelles, bien que le but du groupe soit clairement défini.
e) L’organisation : Elle se distingue par des procédures élaborées qui définissent avec précision le rôle de chacun des membres, les modes de communication sur les plans internes et externes. Bien entendu l’organisation dispose également de statut qui précise le ou les objectifs qu’elle se propose d’atteindre.
A partir de ces classifications, nous pouvons définir le groupe comme étant un ensemble de personnes (au moins 2) qui ont des caractéristiques communes, qui considèrent qu’elles forment une entité distincte, qui poursuivent les mêmes buts et qui sont conscients qu’elles doivent collaborer ensemble pour atteindre leurs
objectifs.
II. LES PHÉNOMÈNES DU GROUPES :
Il Faut tout d’abord souligner que le groupe est un système complexe et dynamique ( il y a interaction = échange ). Dans ce système se produisent des phénomènes particuliers, qui ne se produisent pas chez les individus lorsqu’ils sont seuls, isolés. Parmi ces phénomènes, nous allons examiner
• la polarisation, lacréativité, la désindividuation
1) La polarisation : Dans certaines circonstances, les discussions entre les membres du groupe conduisent
progressivement à une radicalisation des attitudes du groupe, de ses jugements et de ses choix. En d’autres termes la discussion provoque des prises de positions plus prononcées sur certaines questions. Ceci s’explique par le fait que les jugements du groupe ne sont pas déterminés uniquement par les caractéristiques culturelles des membres mais également par le système de valeurs de la société à laquelle appartient le groupe et par ses représentations sociales. Nous ajouterons que les décisions qui sont prises après discussion au sein du groupe sont le plus souvent plus risquées que celles qui auraient été prises par chacun des membres du groupe s’il était seul. Celà signifie qu’au sein du groupe l’individu se sent moins responsable.
2) La créativité : C’est le processus par lequel un individu ou un groupe, crée un produit nouveau ou
original, adapté à la situation du moment.
Être créatif c’est savoir analyser et comprendre ce qui existe pour ensuite mettre au point quelques chose de nouveau ou de plus performant. La créativité peut être mise en œuvre par une seule personne, comme elle peut être élaborée par un groupe. Dans ce cas, on peut parler de la technique du brainstorming. ( العصف
الذهني )Qu’est ce que le brainstorming ? Il s’agit de constituer des groupes de 6 à 12 personnes et de demander aux membre de chaque groupe de produire et de noter par écrit le maximum d’idées possibles sur un sujet déterminé. Dans l’effort de réflexion les individus doivent éviter de faire preuve d’autocensure (الرقابة الذاتية ). Une fois les idées réunies, le groupe passe à un travail d’évaluation et de critique pour sélectionner les meilleurs idées. Cette méthode est très utilisée par les américains dans tous les domaines et donne
généralement de très bons résultats.
3) La désindividuation : Ce terme signifie que les individus se sentent beaucoup plus responsables lorsqu’ils sont seuls que lorsqu’ils sont en groupe. Ainsi on constate que les comportements révoltés sont plus prononcés chez les individus réunis en groupe que chez les individus seuls. Tout se passe comme si le groupe agit sur la personnalité de l’individu qui devient plus faible. Au sein de la foule,l’individu est de moins en moins responsable de ses actes. Un autre facteur joue un rôle important dans la désindividuation : C’est l’anonymat. Ce facteur peut être provoqué ) artificiellement par l’utilisation de masque de déguisement ( قناع للتنكر ) ; de
numéros(رقم
عوض شخص) … etc. Ainsi l’individu n’est plus lui-même avec son nom, sa position sociale, il se réduit à un
masque, un uniforme ou un simple numéro.

III. POUVOIR ET LEADERSHIP :

a) La notion de pouvoir :
Qu’est ce que le pouvoir? Nous retiendrons la définition du philosophe HOBBES.Selon lui : « Le pouvoir est ce qui permet à l’individu de fixer les prix et de moduler l’offre et la demande de manière à ce que celles –ci
favorisent son profit personnel . » C’ est aussi le fait pour un homme d’ avoir aujourd’hui les moyens d’obtenir
des biens dans le futur.

En sociologie, la définition du pouvoir s’inspire largement des idées de ce philosophe. La conception psychosociale du pouvoir considère ce dernier comme la capacité d’un individu ou d’un groupe d’imposer à un autre individu ou un autre groupe une certaine ligne de conduite ou de jugements. Nous constatons donc que la notion de pouvoir est liée à celle de contrainte (forces et pressions). Il y a deux sortes de contraintes : Celle qui est imposée de l’extérieur et celle que l’individu finit par intérioriser et donc par accepter. L’exercice
du pouvoir ne signifie pas automatiquement le recours à la force mais plutôt le recours à des stratégies politiques pour obtenir souplement la soumission volontaire.On distingue généralement cinq formes de pouvoir


1) Le pouvoir de coercition (الإكراه ) : Qui s’exerce à travers le recours à la force, à la contrainte et aux punitions. Il nécessite une surveillance permanente.

2) Le pouvoir de compétence : On l’appelle aussi le pouvoir de l’expert. Celà veut dire que celui qui exerce le
pouvoir à un bon niveau de formation, de compétence et de savoir faire qui lui permet de commander à des gens moins qualifiés que lui. Ils lui obéissent parce qu’ils reconnaissent à leurs justes valeurs son niveau d’instruction et ses compétences.

3) Le pouvoir de récompense : dans ce cas, le sujet obéit à un autre sujet parce qu’il espère recevoir une récompense en argent ou en nature en contre partie de son obéissance.

4) Le pouvoir de référence : On obéit à quelqu’un parce qu’on l’admire en tant que personnage ou alors parce
que l’on s’identifie à lui.

5) Le pouvoir légitime : C’est un pouvoir qui est imposé par la loi que l’on reconnaît comme l’expression de la
volonté générale.

b)La notion de leadership :
Le leadership se définit comme l’influence qu’exerce sur le groupe, l’un de ses membres (le leader) sans recours à la force ni à la contrainte. Cette influence ne dépend pas du statut social ni de la fortune du leader. Elle résulte de l’adhésion totale volontaire et enthousiaste (الحماس) du groupe aux idées et aux points de vue du leader.
Les psychosociologues estiment que le leadership se base sur les caractères personnels du leader : à soir sa personnalité, son intelligence et son aspect physique. En général, les leaders ne sont pas des hommes de pensées mais des hommes d’actions. Ils ne voient très loin car celui qui voit loin hésite (يتردد ) à passer à l’action.
Le thème de leadership a fait l’objet d’un très grand nombre de travaux. Les résultats de ces travaux sont contradictoires. Il faut retenir cependant que ce n’est pas la personnalité du leader qui compte, mais l’interaction entre entre sa façon d’agir et de communiquer et les caractéristiques d’une situation
déterminée.
D’après cette optique intéractionniste, le leader est l’individu qui à un moment donné apparaît comme le mieux placé pour identifier les difficultés du groupe,ses besoins et ses conflits internes et pour y répondre.

IV. LA STRUCTURE DU GROUPE :[
Dans le cadre de la structure des groupes, nous allons examiner les trois dimensions qui déterminent cette structure et qui sont complémentaires. Il s’agit de la description des normes , des rôles et des statuts.

A –NORMES, RÔLES ET STATUTS :

a -Les normes sociales :
Les normes sociales constituent dans le domaines de la psychologie sociale, une notion très controversée. Pour certains c’est une notion qui permet d’expliquer plusieurs conduites et de nombreux mécanismes cognitifs (آليات المعرفة).
Pour d’autres c’est une notion trop générale et par conséquent, elle manque de précision et elle n’est pas facile à mettre en œuvre sur le plan opérationnel(pratique).
Les normes se définissent comme étant les règles qui déterminent les conduites, les jugements, les appréciations et les sentiments dans un groupe limité, dans une collectivité ou dans une société.
Très souvent les normes ne sont pas formulées de manière claire et explicite.Elles doivent pourtant préciser ce qui est attendu en fonction des circonstances, elles tracent un cadre de différences qui peut servir de repères aux sujets. Les règles de conduites qui découlent (viennent) des normes
sociales sont dans la plupart des cas associées à des valeurs connues par la majorité.
On distingue trois familles de normes :
- Les règles bien séance : Les règles de politesse.
- Les mœurs ( الأخلاق ) : Les règles concernant la pudeur ( الحياء، الحشومة ) et des personnes plus âgées et en général
tout ce qui concerne ce qu’on peut appeler bonnes conduites,
- Les lois : Ce sont des règles qui sont élaborées par le législateur(المشرع ) et
qui sont ratifiées ( acceptées) par le parlement ou l’institution qui détient le pouvoir (السلطة
التشريعية). Les lois s’imposent à tout le monde. Celui qui ne les respecte pas peut être sanctionné
ou privative de liberté.b- Le statut social :
Le statut d’une personne désigne le rang qu’elle occupe dans la hiérarchie sociale. Ce statut se caractérise par un ensemble de droits et de devoirs. Il est bien évident que plus le statut est élevé, plus la personne a du prestige.
En fait chaque individu procède non pas à un seul statut mais plusieurs statuts différents. La position d’une personne ici( lieu) et maintenant( temps) est appelée statut actuel .En même temps le sujet à d’autres statuts qui, ici et maintenant, sont mise en sommeil c'est-à-dire restent latents. Il est évident que le statut d’un sujet constitue une composante importante de son identité et de sa personnalité. Il y a des statuts qu’on acquiert à la naissance ( sexe, couleur de la peau). D’autres statuts dépendent de la classe d’âge à laquelle on appartient ( enfance, adolescence et vieillesse). Les statuts acquis ( المكتسبة ) renvoient à des caractéristiques comme
la profession, le statut matrimonial, l’appartenance à une organisation de la société civile ou un parti politique ( هيئة سياسية) . Enfin il faut signaler que certains statuts sont imposés par l’organisation sociale (exemple le statut
d’esclave).
c Le rôle :
En ce qui concerne le rôle, celui-ci désigne la fonction que remplit le sujet au sein de la société. Cette fonction est évidemment liée au statut du sujet. En d’autres termes, à chaque statut particulier correspond plusieurs rôles.
Le rôle d’un sujet correspond à l’ensemble des comportements qui traduisent de façon concrète son statut.
A chaque modèle de statut correspondent des comportements déterminés. Parfois, on peut assister à une situation conflictuelle entre les différents rôles que doit jouer le sujet.
La fonction psychosociales des rôles est évidente. En effet dans la mesure où les rôles peuvent être anticipés (prévus), ils peuvent faciliter le déroulement des échanges sociaux.
Dans le monde moderne l’individu est souvent amené à avoir plusieurs statuts dont certains peuvent même être contradictoires d’où la difficulté à parvenir à les concilier ( التوفيق بينها ).

Nous avons vu que la structure de l’identité est fondamentale pour la psychologie sociale. Elle pose la question de l’articulation de l’individu et le collectif.
Les notions de socialisation des normes , de rôle et de statut permettent de comprendre comment le sujet devient autonome et comment il élabore sa personnalité à partir des modèles que la société lui propose.


A LES RÉSEAUX DE COMMUNICATION :

Le réseau de communication est l’ensemble des conditions matérielles qui permettent de véhiculer l’information. Ce sont les canaux de transmission de l’information, considérés sous leur aspect de support physique exemple : télévision, radio, presse, dépliant …etc. Le choix de chacun de ces supports dépend de la qualité et de la quantité de l’information à transmettre. Il dépend également de la nature de la cible à toucher et bien évidemment de l’objectif à atteindre.


V. LA CULTURE DE MASSE :
Le mot « masse » revient très souvent dans le langage contemporain. Ce vocable désigne un peuple ou une société considérés dans leur ensemble.
Le mot « masse » désigne également l’ensemble des classes populaires dans une société déterminée. On dit ainsi « masse populaire ».
Il est certain que l’industrialisation et la croissance rapide des villes ont entraîné un profond changement dans la nature des relations sociales. Au sein de la nouvelle société les échanges se réduisent à des relations impersonnelles basées sur l’intérêt égoïste. Les relations de solidarités qui caractérisent les sociétés anciennes se sont nettement relâchées.
L’urbanisation ( التمدن ) et la forte croissance démographique ont conduit à l’augmentation de la distance sociale. C’est le règne de l’anonymat. Le peuple devient moins un ensemble de personnes qu’une masse d’individus.

a-Les communications de masses :

Pour communiquer en direction de la masse, il faut avoir recours à des supports qui peuvent répondre aux
besoins de l’émetteur de l’information et de son récepteur. D’où alors le rôle que jouent les moyens de communication de masse désignés par le terme de « masse – médias ». Ce terme se rapporte à l’ensemble des moyens techniques qui permettent de transmettre l’information et/ou d’influencer la masse en totalité ou en partie : radio ; télévision, journaux internet, affiches …etc.
Le message à transmettre est destiné à une cible à la fois vaste et vague.
Les fonctions de la communication de masse visant deux objectifs l’influence et la manipulation.
Il s’agit d’influencer la cible visée pour lui faire changer d’attitude vis-à-vis d’une question déterminée qui peut être d’ordre politique ou social.
Nous citerons comme exemple un pays dont les dirigeants veulent engager une guerre contre un autre pays alors que l’opinion publique n’est pas d’accord sur cette guerre. Dans le but de rendre l’opinion publique favorable à leur politique, les dirigeants vont engager une action de propagande (حملة ) pour acquérir une
majorité en faveur de leur stratégie qui pourrait les soutenir.
Cette action de propagande cherchera à camoufler les inconvénients de la guerre et de mettre en évidence ses avantages. C’est ce qu’on appellela manipulation. Celle-ci sert parfois de fausses nouvelles, de rumeurs pour maximiser l’influence sur l’opinion publique. Cependant, pour être efficace, la propagande a besoin d’une société où la liberté d’expression est limité ou inexistante. En d’autres termes la liberté d’expression a pour effet de limiter ou de neutraliser l’effet de la propagande. Il faut souligner que l’étude de l’opinion publique repose dans une large mesure sur la technique du sondage d’opinion mise au point par l’institut GALLUP aux états unies.
En France, cette technique a été introduite en 1938 par l’institut français de l’opinion (IFOP).
Pour ce qui est de la rumeur, celle-ci désigne un ensemble d’informations vraies ou fausses, de récits qui se propagent de bouche à oreille.
La rumeur est encouragée par l’absence d’information suffisante et fiable.
La rumeur peut changer de dimension, de contenu …etc.[/u]

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تاريخ التسجيل : 05/12/2010

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